Voir lien sur le site de l'Agence de Presse Sénégalaise, 10 mars 2012
Extraits
Les acteurs de cette filière se plaignent encore de la ’’faiblesse’’ des ressources qu’ils en tirent. Cette situation résulte de ’’la sous-exploitation’’ de la noix et de la pomme d’anacarde, en Casamance, a-t-il expliqué.
‘’Avec moins de 5% comme taux de transformation locale, la seule alternative qui s’offre aux producteurs, c’est vendre, sans un réel pouvoir de négociation, les noix brutes aux exportateurs. Quant à la pomme d’anacarde, elle pourrit sous les arbres, une faible quantité étant utilisée pour faire du vin de cajou’’, a-t-il relevé.